Chogan A. Hok'ee Admin Sadique en manque d'affection ♦
Messages : 138 Date d'inscription : 24/06/2012 Age : 29 Localisation : Quelque part. Pas ici en tout cas.
Feuille de personnage Réputation: Ascocial de première classe - Comédien hors pair Gardien / Mentor: Ty Abernathy Devise: " Lorsqu'on commence à jouer un personnage, on ne peut pas s'arrêter. C'est finit. Les rôles vous possèdent. " - " La faiblesse personnelle est aussi dangereuse que la violence d'autrui. "
| Sujet: Chogan A. Hok'ee, ou comment être sois tout en étant quelqu'un d'autre. [ FINIT ] Mar 3 Juil - 16:12 | |
| Nom : Hok'eePrénom(s) : Chogan AbooksigunSurnom : Cho' & Sigun. Date de naissance : 10/07/2005Origine : Il vivait à Londres, en Angleterre, mais il est d'origine Cherokee. Description physique : [ Je précise, c'est une fille qui décris Cho'. ] La première fois que j'avais rencontré Chogan, c'était dans le métro. Il était assez tard, si je me souviens bien. Il faisait déjà nuit. Il était assis devant moi, le dos droit, les yeux dans le vide. Il avait des yeux banal d'ailleurs. Ils étaient marrons, comme la plus part des gens. Ils étaient ni clairs, ni foncés. Oui, il avait vraiment des yeux simple. Et pourtant.. Quand son regard se posa sur moi, impossible de m'en détacher. Il y avait tellement d'intensité dans les yeux de se jeune homme. Je restais là, sans bouger, à les fixer. Ils étaient vraiment magnifique, finalement. Au bout de quelques secondes qui me parurent durer une éternité, il cligna des yeux. Et là, tous ce que j'avais vu de merveilleux s'effondra. A présent, il avait juste l'air fatigué. Il passa une main dans ses cheveux et soupira. Il avait des cheveux noir, presque noir corbeau, assez long. Ils étaient un peu ébouriffé, sûrement parce qu'il avait passé une dure journée. On voyait des traces de gels, comme quoi il avait du les coiffer en se levant. Je ne m'attardais pas sur ses cheveux et continuais de l'observer. Ses lèvres étaient belle, parfaite. Enfin, à mon goût. Comment les décrire ? Bien dessinées. Globuleuses. Sensuelles. Elles étaient légèrement plus foncé que sa peau mat et veloutée. Oui, sa peau aussi était parfaite.. Son teint bronzé me fit soupiré. J'ai toujours rêvée d'avoir le même. Concernant sa pilosité facial.. Il devait être imberbe. Ou alors rasé de très près. Tant mieux, je n'ai jamais supporté les garçon avec pleins de poils partout. Le métro s'arrêta à un quai. Le jeune homme se leva, il partait. Dommage. J'aurais bien voulu l’observer encore. Une fois debout, je put enfin mieux voir sa physionomie. Il était grand, et plutôt mince. Tiens, son t-shirt était mouillé, je n'y avais pas fait attention. On pouvait même deviner ses tablette à travers le tissus.. Mince et musclé. Mon Dieu, il fallait que je le retrouve. Je l'ai revu quelque fois par la suite. Revu.. C'est vite dit. Je l'ai entre aperçu dans la rue. Il a toujours mit des vêtements classe. Qui sortent de l'ordinaire. Je ne me suis jamais intéresser à la mode ou quoi que se soit. Mais je sais que lui, il a du style. Avatar : Nom de la célébrité ? Je suis célèbre ? Oui, c'est moi sur l'avatar. Description morale : Chogan.. J'ai beaucoup appris sur lui vous savez. J'ai posé des questions autour de lui, à ses amis, à sa famille. Je voulais savoir ce qu'il aimait. Ce qu'il détestait. Ses passions. Je voulais tout savoir. Mais c'est difficile de bien le connaître, parce qu'il se cache. Il se cache derrière un personnage. Ou plutôt des personnages. Il n'est pas vraiment lui quand il avec des gens. Je pense que la personne qui le connaît le mieux, c'est Doli Halian Hok'ee, son frère jumeaux qui lui ressemble trais pour trais. Pourtant, il n'a pas cette chose qui fait de Chogan un être à part. Sigun est tellement complexe. Ce n'est pas quelqu'un de très joyeux, il ne sourit pas beaucoup, et ne rit pas beaucoup. Enfin.. En temps normal. Je vous l'ai dit. Il est tellement complexe à cerner. Ce n'est pas lui qui vous parlera quand vous lui tiendrais compagnie, c'est le personnage qu'il va être. Il peu être romantique, charmeur, comme il peut être froid et distant. Il peut rire comme il peut pleurer. Mais moi, je vais vous parler du vrai Chogan, celui au quel je me suis intéresser. J'en étais où.. Oui, il n'est pas très souriant, ni très bavard d'ailleurs. Il n'est pas très attentif, plutôt dans ses pensées. Ça lui arrive souvent de perdre le fil de la discutions, même quand c'est lui qui parle. Il peut vous parlez un jour, puis vous ignorez le lendemain. Il est comme ça. Si vous ne l’intéresser pas, il ne vous adressera pas la parole. C'est tout. C'est lui quoi. Il aime être seul aussi. Pour ça, je le comprend. Je passe tout mon temps seule. Mais on n'est pas ici pour parlez de moi. On m'a dit qu'il faisait du théâtre depuis qu'il avait 7 ans. Il doit être vachement doué.. J'aimerais bien le voir jouer. Voyons, qu'est-ce que je sais sur lui encore.. C'est tellement difficile de le cerner. Il change de comportement avec chaque personne.. Il est mystérieux. Et seul. Je sais ce que je vais faire. Je vais vous décrire les personnages qu'il joue le plus dans la vie réelle ! C'est une bonne idée, non ? Par le quel commencer ? Oh non, il y en a trop.. Une fille m'a raconté qu'il était très dragueur et provoquant. Une autre m'a dit qu'il était timide et adorable. Un garçon m'a raconté qu'il était vulgaire et violent. Un autre m'a dit que c'était un vrai intello, une vrai poule mouillé. Comment voulez vous que je vous décrive ça ? J'abandonne. Il est comme il est. C'est tout.Quel est votre talent artistique ? : Le théâtre. C'est la passion de Chogan. Comment l'avez-vous découvert ? : Comment ai-je découvert mon talent ? C'est une bonne question.. C'est comme si vous demandiez à un aveugle de naissance comment il est devenu aveugle. Ou comme si vous demandiez à un africain comment il était devenue noir. Ou a une femme, comment elle a eu ce sexe là. Je suis né pour jouer un rôle, c'est comme ça. Depuis tout petit, je change de personnalité en fonction des gens. En fonction des personne qui m'entoure. J'ai vraiment commencé le théâtre à 7ans, parce que mon frère en avait besoin, il était trop timide. Je suis aller avec lui, assisté au cour. Vous savez ce que c'est des frères jumeaux, ça ne se quitte jamais. Depuis, je fais du théâtre. Je n'ai jamais arrêté, j'ai l'impression de me retrouver quand je joue. C'est juste merveilleux. Je suis dans une troupe de professionnel aussi. Enfin, j'étais.. Maintenant, je suis à Safety Crick, et je ne suis qu'un garçon talentueux parmi tant d'autre. Histoire : Il était une fois.. Une jeune femme d'origine Indienne. Elle était très belle, et tous les hommes de sa tribu la désiraient. Son père ne voulait la marié à aucun d'un. Il voulait trouvé un parti plus convenable pour sa fille. Un jour, un Lord Anglais s’éprit d'elle et décida de l’épouser. Voilà l'histoire de ma mère. Non, je rigole. C'est l’histoire d'une fille d’origine Indienne vivant dans les quartiers défavorisé de Londres. Elle était très pauvre, et malgré sa beauté impressionnante, elle était traité comme un vulgaire chiffon. Son père ne voulait pas la marié, parce qu'il la voulait pour elle. Oui, je parle bien d'inceste. Horrible, je sais. Le fils d'un riche Londoniens tomba vraiment amoureux d'elle et fuit avec elle. Romantique n'est-ce pas ? Attendez de voir la suite. La jeune femme accoucha dans leur petite maison, dans la banlieue de la ville, déjà envahit de plante immense et en tout genre. Elle eu deux jumeaux, moi, et mon frère. Son mari prit peur, il ne voulait pas d'enfants. Encore moins deux d'un coup. Il prit ses valises et retourna vivre chez son richou de père. Bien sur, il versa une pansions alimentaire à ma mère. 4 000 €, ça ne se refuse pas. Oh, et évidement, mon frère et moi avons pris le nom de famille de ma mère. Vous imaginez sinon ? Chogan Abooksigun Mc Abbey et Doli Halian Mc Abbey. Tss, ça me ferais rire. Je préfère largement Hok'ee, ça sonne mieux. Oui, ce n'est pas Anglais, c'est d'origine Cherokee. Vous savez que Hok'ee, ça veut dire abandonné ? Chogan, ça veut dire oiseau noir, et Doli, ça veut dire oiseaux bleu. Il paraît que l'oiseau bleu apporte le bonheur et que l'oiseau noir apporte le malheur. Je pense que c'est vrai. Mon frère rends le sourire aux gens, depuis toujours. Moi, c'est le contraire. Abooksigun, ça veut dire sauvage. C'est ce que je suis. Halian, ça veut dire fidèle. C'est ce qui l'est. La magie des prénoms, n'est-ce pas ? Bref, on va en revenir à notre histoire. Je suis né un 10 juillet, et je ne suis pas né seul. Vous l'avez s’en doute bien compris, j'ai un frère jumeau. J'ai grandi seul avec ma mère. La meilleure de toute les mères. Une mère qui vous lit des histoire le soir pour vous aider à dormir. Une mère qui vous chante une berceuse quand vous n'allez pas bien. Une mère qui vous cuisine tous que vous aimez pour le goûter. Une mère qui tient à vous comme personne n'a tenu à quelqu'un.. La meilleure, tout simplement. Ma vie n'a pas était très heureuse, mais les moments partagés avec elle et mon frère était simplement merveilleux. A l'école, je n'ai jamais eu d'ami. Même en maternelle. J'étais toujours fourré avec Doli. Il était trop timide pour parler avec les autres enfants. Moi, je n'en avait tout simplement pas envie. Lors de notre rentré au cp, ma mère décida de l'inscrire à des cours de théâtre, pour combattre son gros défaut. J'y suis aller aussi, je ne voulais pas le laisser seul. C'est là que ma passion pour le théâtre se fit vraiment découvrir. Autour de nous, la faune et le flore était de plus en plus présente. Pour moi, c'était normal. Je n’ai vais jamais connu autre chose. Mais je voyais les gens autour de moi s’inquiéter. Dans les contes que ma mère nous raconter, il était question d'une ville propre, sans immenses plantes vertes. Même à la télé, ils en parlaient. Sur les journaux télévisés, sur la presses écrites. Partout, partout, partout. Personnellement, je ne me faisais vraiment pas de soucis. Pourquoi s'en faire ? Ce n'était que de vulgaire végétaux. Pas de quoi en faire un drame. Lors de mes 10 ans, la végétation de fit de plus en plus étouffante. C'était horrible. Des plantes partout. Les rues étaient envahit. Les murs des maisons étaient vert de flore. Londres se transformer peu à peu en une forêt tropical. Mais le pire était à venir. Pour le moment, elles n'avaient pas encore envahit l'intérieure des bâtiments. Je me souviendrais toujours de ma rentré en sixième. C'était en septembre 2016. J'avais eu 11ans deux mois auparavant. Bien évidement, j'étais dans la même classe que Doli. Ma mère avait demandé qu'on soit ensemble. Heureusement. Je ne m'imaginais pas être sans lui, étant donné que j'avais beaucoup de mal à m’intégrer. Mon frère, c'était complètement l'inverse. Deux heures après notre arrivé au collège, il avait déjà fait connaissances avec la moitié de la classe. Oui, il s'était fait des amis. Pas moi. J'ai passé la journée seul, dans mon coin. Je sais ce que vous vous dîtes : " Mais pourquoi il n'ai pas aller voir des gens ?! " Parce que je ne pouvais pas. Je n'y arrivais pas. Toute l'année s'est déroulé comme ça. Bien sur, mon frère venait me voir dès qu'il pouvait, me disant de venir avec lui. Mais je ne voulais pas le suivre, aller avec tous ces gens. Alors je restais sur un banc, dans la cour. Je lisais, je dessinais, j'écrivais. Parfois, j'apportais des consoles de jeux. Au contraire de ce que les autres pouvait croire je ne m'ennuyais pas. J'avais l'habitude d'être seul. Non, ce n'était pas triste. C'était comme ça, c'est tout. Puis je n'en voulait pas du tout à Doli. Pourquoi lui en vouloir ? Parce qu'il se faisait des amis ? Ça aurait été trop bête. J'entamais comme ça mon année de cinquième. Rien n'avait changé. Ah si, une chose. J'avais perdue ma motivation, et je ne travaillais plus au collège. Les professeurs se mirent tous à me détester. Je passais mes mercredi après-midi la-bas, à cause des retenus. Cet endroit était devenu ma prison. Heureusement qu'il y avait mon frère avec moi. Et ma mère, toujours là pour me soutenir. L'année de quatrième. La même que celle de cinquième, mais en pire. L'année de troisième.. Vous savez qu'est-ce qui s'est passé cette année ? Non, je suis bête, vous pouvez pas savoir. Eh bien, cette année là, j'ai rencontré mon père pour la première fois. Un homme de 50 à peu près. Il a vait 11 ans de plus que ma mère, et croyez moi, ce n'est pas rien. Il avait le visage creusé par les rides. On voyait qu'il avait du être terriblement séduisant dans sa jeunesse. Mais maintenant... Il nous a proposé de venir vivre chez lui. Oui, vous avez bien lu. Après 14 ans d’absences ! Je n'avais qu'une envie : lui cracher au visage. Par contre, mon frère avait l'air tellement heureux de le revoir.. Je pris sur moi pour ne pas lui crier dessus, mais lui dit néanmoins ce que je pensais. « Tu pars pendant 14 ans, et tu crois que tu peux faire interruption dans notre vie, comme ça, sans prévenir ! Tu pense que revenir après tant d'années et nous faire les yeux doux, ça suffira ?! Fais moi rire. Tu as pensé à maman ? Non, ne dis rien, et laisse moi finir. Regarde toi, tu as pleins d'argent, et tu crois être heureux ? Tu a abandonné ta famille. Tu es un lâche, voilà ce que tu es. Et jamais Doli et moi ne viendrons vivre avec un vieil homme tel que toi, tu m'entend ?! » Je le laissais planté là, et je rentrais, tenant fermement le bras de mon jumeau, pour l’empêcher d'y retourner. Arrivé à la maison, j'attendais ma mère. Il fallait que j'ai une discutions avec elle. Le plus vite possible. Elle rentra quelques heures après. Elle était partie voir sa sœur. Une fois rentré, j'étais allé lui parler, entraînant mon frère avec moi. Je lui avais tout expliqué. Au fur et à mesure que je parlais, son visage ce décomposait. Elle resta un moment silencieuse, et après de longues minutes, elle finit par se décider à me répondre. « Tu as vu ton père ?.. - Oui, c'est ce que je te dis depuis tout à l'heure ! - Il ne faut pas lui en vouloir, tu sais... Il avait des raisons de partir.. - Ah oui ?! Et quelles raisons ?! - Je... - Il n'y en a aucune ! » Doli posa sa main sur mon bras. Il fallait que je me calme. Je respirait à fond et secoua la tête. « Excuse moi Maman, je ne voulais pas m’énerver. En tout cas, ne t'en fait pas. Nous n'allons pas vivre chez lui. » Elle baissa la tête, les yeux pleins de larmes, et marmonna quelque chose d'incompréhensible. Elle répéta une seconde fois de manière à ce qu'on puisse comprendre. « Il a peut-être raison, c'est peut-être un bonne idée que vous partiez la-bas... Ça fait longtemps qu'il ne vous avait pas vu, ça lui ferait tellement plaisir.. - DE QUOI ?! Il hors de question qu'on aille avec lui ! Tu essaie de te débarrasser de nous ?! - N-non.. » J’eus juste le temps de voir les larmes coulaient sur ses joues, avant de me lever, de partir dans ma chambre et claquer la porte. Elle était encore amoureuse de lui. Il l'avait abandonné. Il lui avait laissé deux gamins sur les bras, et elle était encore amoureuse de lui ! Cet homme lui avait pourri la vie ! Je ne m'attardais pas plu sur ça, je prenais mes affaires, et partais pour mon cour de théâtre. Mon frère a continuer à le voir de temps en temps, à lui envoyer des lettres, ou à l'appeler. Pour moi, cette homme n'était pas mon père. Je n'avais jamais eu de père. Mon Année de seconde se déroula plutôt bien. Je ne travaillais pas, mais j'arrivais à obtenir des résulta convenable. C'est cette année là où je me suis mis à utiliser mon talent de comédien pour m’intégrai. Ça marchait plutôt bien. J'étais doué on va dire. C'était marrant. J'étais quelqu'un d'autre avec chacun personne. Toujours différent, jamais le même. Je ne suis jamais allé en première. Mon frère, oui. Mais moi, je suis parti en tournée avec ma troupe de théâtre. Juste avant de partir, mon frère m'a offert ce médaillon au quel je tiens tant. Cette année, ça a été la meilleure année de ma vie. Je ne me consacré plus qu'au théâtre. C'était fabuleux. Une fois par semaine, je revenais voir Doli et ma mère, alors ils ne me manquaient pas trop. À la fin de cette année là, mon père est revenu me voir. Il m'a donné un billet d'avion et me disant : « C'est ton entré au Paradis. » Et il est reparti, sans rien ajouté. Sur le coup, je n'ai pas compris ce qu'il voulait dire.. Puis ma mère m'a expliquer. Le monde était en train de se détruire. Et ce billet, il pouvait m'amener à Safety Crick, le seul endroit encore inchangé. Je n'ai pas voulut partir, j'ai refusé. Si je partais, c'était avec elle est mon frère. Mais je n'ai pas eu le choix. Je me suis réveillé dans l'avion, ma valise dans la soute, et le médaillon de mon frère dans la main, avec un petit mot : « Ne m’oublie jamais. Je suis là, avec toi dans ce médaillon. Doli. » C'est à ce moment là, la première fois que j'ai pleuré. Accessoire fétiche emporté à Safety Crick : J'ai pris avec moi le collier que ma offert mon frère pour notre anniversaire de l'an dernier. Il est tout en argent. La chaîne y compris. Il est ovale, et il y a gravé : D H & C A, entouré d'une spirale. Les initiales correspondent à Chogan Abooksigun, et Dali Halian, le nom de mon frère. Ce médaillon s'ouvre, et à l'intérieure, j'ai glissé une photo de Dali et moi. Pourquoi ça ? Parce que mon frère jumeaux est la personne à qui je tiens le plus. Et maintenant, il est loin de moi. Vous savez, c'est horrible d'être séparé de son autre sois. M'enfin, vous pouvez pas comprendre. Petite phrase / Citation qui vous correspond : " Lorsqu'on commence à jouer un personnage, on ne peut pas s'arrêter. C'est finit. Les rôles vous possèdent. " - " La faiblesse personnelle est aussi dangereuse que la violence d'autrui. " Autres : « Pourquoi tu me suis ? Oui, je te souris, mais ça veut pas dire que je t'aime bien. C'est pas moi qui te souris. C'est le personnage que j'incarne. Laisse moi maintenant. Allez, dégage. J'ai pas besoin d'un petit chien, casse toi. » | |
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